Description
« La plus belle pour aller danser » huile sur toile par Stojan Milanov
œuvre seule: 50x40x2 cm
Stojan Milanov est né à Belgrade en 1963. Il est diplômé de la faculté d’architecture de Belgrade et peint depuis 1985.
Il est membre de l’Association des beaux-arts et des arts appliqués de Serbie.
Ses peintures se retrouvent dans de nombreuses collections en Amérique et en Europe.
“Artist of the year” – Simic Galleries, California, 2005. Artiste de l’année
First prize for painting at the competition “I bi Tesla”, Center for Culture and Art Development “Lira”, Belgrade 2006. 1er prix de peinture du Centre pour le développement pour la Culture et l’Art de Belgrade
“Palette of Đuro Jakšić”, II award of the art colony “Love and Understanding”, Požarevac 2012.
« La plus belle pour aller danser » de Stojan Milanov nous rappelle cette chanson d’une autre artiste Bulgare qui rêvait d’aller danser.
Un artiste est une personne qui « voit »pense et ressent, plus clair, plus loin et plus profondément… et a la volonté, les compétences et le courage de le montrer. Je peins parce que je sens que c’est la meilleure chose que je puisse faire pour les autres et pour moi-même. Je m’en suis rendu compte quand j’ai commencé à peindre. J’avais alors 23 ans et cette prise de conscience est devenue et est restée une motivation et une motivation fortes.
Être artiste est un grand privilège et un excellent moyen de se développer et de progresser en tant que personne.
Ce qui m’émeut le plus dans la peinture, c’est la curiosité… jusqu’où je peux aller, voir et comment le présenter dans le langage de l’art. Les surprises vécues en cours de route sont d’une grande richesse et d’un grand plaisir. J’utilise la technique de l’huile sur toile parce qu’elle convient le mieux à ma sensibilité et je considère qu’une bonne maîtrise du dessin est la base de toutes les disciplines artistiques.
En peignant, j’essaie de maintenir un équilibre entre l’intuitif et le rationnel, car cette approche me convient le mieux. Je n’insiste pas pour transmettre une certaine «histoire», théorie ou conclusion au spectateur. Mais pour que la peinture les provoque dans leur propre point de vue avec son «incomplétude» intentionnelle.
Je choisis des thèmes et des motifs spontanément; les gens, parce qu’ils sont une source d’inspiration universelle et inépuisable ; les scènes urbaines, parce qu’elles sont un défi, pour présenter la vie quotidienne routinière sous un meilleur jour et avec un sens plus profond ; et les paysages, car ils sont l’un des moyens de rester en contact avec le milieu naturel. Cependant, le thème et le contenu ne sont pas la partie la plus importante de ma peinture, mais le mode d’interprétation.
Je pense que le plus grand défi pour un peintre (en apparence) est de présenter un sujet trivial à la lumière d’une réalité supérieure et ainsi lui donner un sens. Je suis un partisan de la liberté de pensée et d’expression, mais une liberté qui s’accompagne de responsabilité. Car sans elle, elle vire facilement à l’arbitraire. Je ne peins pas pour moi, mais pour les autres. J’aime les peintures, les regarder et les créer.
©Stojan Milanov